• Championnat de France 1956 (derailleur Huret Bobet non ?)

    Superbe photo de Bernard Gauthier "s'envolant" vers la victoire


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  • Vu sur le net , ne m'appartenant pas, ce beau vélo de l’immédiat après-guerre. Son état proche de l'origine (semble-t-il) et ses accessoires tels la plaque de numéro de dossard et le gonfleur donnent à ces photos (Annonce ebay pour ne rien vous cacher) un réel intérêt documentaire.

    Je pense que le porte-bidon lui, date des années 50 ( à vérifier)

    - Cliquez pour zoomer -

    Velo Francis Pelissier apres-guerre cadre "Rubis"

    Velo Francis Pelissier apres-guerre cadre "Rubis"

    Velo Francis Pelissier apres-guerre cadre "Rubis"

     

    Velo Francis Pelissier apres-guerre cadre "Rubis"

     

    Velo Francis Pelissier apres-guerre cadre "Rubis"

     

    Velo Francis Pelissier apres-guerre cadre "Rubis"

     


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  • Vu sur le net (ne m'appartient pas ) :

    Tenue cyclisme équipe Bertin années 50 :

    Tenue cyclisme équipe Bertin années 50 :

    Tenue cyclisme équipe Bertin années 50 :

     

    Tenue cyclisme équipe Bertin années 50 :

    Albert RAMON et Valère OLIVIER (Equipe Bertin)


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  • Après l'échec de sa première tentative, Jacques Anquetil dut changer de monture :

    Extrait de "Jacques Anquetil, la véridique histoire", Edition Glénat

    L'échec du 25 juin :

    "En descendant de machine, Jacques ressent une douleur à la fesse gauche, à la hauteur du nerf sciatique. En l'entendant se plaindre, les mécaniciens du Vigorelli se précipitent pour voir son vélo de plus près. Les voici qui le mesurent en long, en large et en travers. Il possède soixante-deux centimètres d'entre-axes. Trop court. Leur diagnostic est sûr, ils en ont vu d'autres. Le vélo convient pour un effort violent, c'est tout. Il a trop de « chasse » à l'arrière, il est trop long pour la piste du Vigorelli terriblement rapide avec ses virages bien dessinés mais secs. Tout au long de la tentative, Anquetil s'est déhanché de manière continuelle pour conserver son vélo le mieux possible dans la ligne des virages.

     

    Son guidon se révèle aussi trop bas. La respiration s'en trouve entravée. Enfin Dousset lui annonce que sa selle ne vaut rien. Cela fait beaucoup d'éléments défavorables.

     

    (....)

    La réussite du 29 juin :

     

    Problème numéro un de l'heure : trouver un autre vélo et ce n'est pas chose facile. Certes, il n'en manque pas dans l'atelier des mécaniciens du célèbre vélodrome. Jacques peut tout à loisir en essayer un, celui de Coppi, par exemple, qui répond à peu près à ses mensurations. Mais les Italiens ne se laissent pas circonvenir aussi facilement. Le vélo de Coppi, oui, mais à la condition que Jacques signe un contrat avec la firme « Bianchi ». Pas question. « Restons français ! » dit le Normand. Les mécaniciens, alors, permettent simplement de prendre les mesures du vélo du campionissimo. Désormais il faut le construire, cet engin. Or, Jacques dispose au maximum de trois jours devant lui. Pas de temps à perdre. L'état-major du caporal-chef Anquetil se met à la recherche de l'oiseau rare. Il le trouve en la personne d'un petit artisan milanais qui, en vingt-quatre heures, confectionne une machine identique à celle de Fausto et aux mesures de Jacques, avec cinquante-trois centimètres d'entre-axes. C'est un vélo de six kilos, allégé au maximum, mais rigide, muni de roues de trente-six rayons et de boyaux de cent-dix grammes."

     

    Le 1er vélo, stické Helyett et semble-t-il entièrement chromé :

    Les vélos du record de l'heure de Jacques Anquetil (1956)

     

    Le vélo du record (cadré par Masi, je crois) :

     

    Les vélos du record de l'heure de Jacques Anquetil (1956)

    Source : le Miroir des Sports du 2 juillet 56

     

     


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    Parmi les expositions virtuelles du tout neuf Musée du Sport , peut être admiré le vélo de Robic, celui de 1947. Admirable également la légende.....http://jalbum.net/fr/browse/user/album/1372079

    "Le cadre constitue le « squelette » de la bicyclette, il assure la liaison entre les différents éléments. La fourche est l’élément sur lequel est fixée la roue avant, et qui permet de diriger le vélo. Par ailleurs, Robic était très attaché au matériel et bricolait beaucoup : on peut ainsi remarquer que le cadre est percé de trous, une astuce pour le rendre plus léger. Le double plateau du pédalier avant a été introduit par les Italiens dès 1947, mais s’est généralisé de postérieurement."


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